Bonjour lectrice et lecteur,
J’écris aussi des histoires de vie d’entrepreneurs.
Les histoires ci-dessous sont vraies.
18 histoire de vie été regroupées dans un manuscrit. Vous pouvez l’obtenir en me contactant directement. Elles peuvent vous être utiles dans une dynamique de création d’entreprise.
Vous trouverez quelques commentaires de lectrices et de lecteurs.
Si vous souhaitez écrire votre histoire de vie d’entrepreneur, contactez-moi sans hésiter.
Bonne lecture.
Olivier
Découvrez quelques unes de ces histoires de vie :
- N°17 – Le restaurant communautaire de Mme BARAKA : lire >>
Quelques témoignages sur ces témoignages…
Une Collègue
Salut Olivier,
J’espère que tu vas bien.
Je tenais à te féliciter pour ton livre qui est une petite merveille !
Un grand Bravo ! Tu as vraiment su retranscrire les motivations et les problématiques de nos chers créateurs et notre quotidien de conseiller ADIE avec humour, réalisme, empathie et sincérité.
Merci pour cet hommage aux clients de l’Adie et aussi pour ce message d’espoir sur le développement économique et l’insertion dans notre beau pays. Une belle note d’optimisme plus que nécessaire par les temps qui courent !
En lisant ton livre, on réalise à quel point notre travail est épanouissant et utile. La tête dans le guidon on, arrive parfois à l’oublier, heureusement quelques-uns gardent la foi et regardent les choses du bon côté.
Merci !
Une bénévole en IDF
Bonjour Olivier,
J’ai lu ton livre d’un seul trait.
Tu le lies comme des histoires nouvelles à chaque fois, mais tellement semblables dans le fond.Le dénominateur commun, c’est qu’une grande souffrance au départ peut attiser une volonté farouche de s’en sortir.
Personnellement je constate qu’il n’y a pas de hasard dans la vie, mais que des douleurs considérables peuvent « booster » certaines personnes et les amener à créer et se créer un avenir pour vivre la tête haute, là ou d’autres vont s’abandonner
Mais pour cela il leur faut une aide, un repère, un soutien, une écoute.
Ces 18 histoires révèlent des personnages courageux, optimistes, volontaires, mais qui pour autant restent humbles.
C’est une leçon de vie. Parfois, il suffit d’une petite aide et d’une grande écoute pour se sublimer…..
Bravo. À bientôt.
Une amie
Salut Olivier,
J’ai fini ton bouquin. J’ai trouvé ça passionnant, terrible et tellement positif !
18 fois merci !
Bises.
Une inconnue
Bonjour Olivier,
MERCI pour ce livre. On m’a parlé de toi, j’ai reçu ton livre et maintenant j’ai la PECHE!
Merci de relater ces expériences de vie.
Merci de nous faire penser que l’ADIE est là.
Merci le micro crédit donne vie et sens à beaucoup de gens.
Merci d’être dans ce mouvement du changement que nous voulons apporter pour une société nouvelle.
Merci de nous démontrer que TOUT EST POSSIBLE.
Alors si tu veux écrire un autre livre, ne te prive pas tu donnes l’Espoir Olivier.Bonne route de l’Espoir, de l’Enthousiasme.
Une collègue
Bonjour Zeitoun,
Je me suis régalée à plonger au coeur de ces vies cachées, de ces parcours dissimulés derrière toutes ces personnes.
À chaque portrait on est embarqué dans un nouveau voyage sans savoir où il va nous mener … dans quel pays … dans quelle culture … dans quelles logiques de vie.
Pour tout te dire, une fois que j’ai commencé à en lire un je n’ai pas réussi à lâcher jusqu’au 10e d’une traite.
À chaque fois, je me disais allez un dernier … un de plus … Un peu comme quand tu commences à regarder une série et que tu te dis : allez un dernier épisode et j’arrête. Mais au final tout comme dans les séries, c’est le sommeil qui m’a eue 🙂
Et pour aller un peu plus loin dans mes impressions, je dirais que c’est très touchant.
Alors est-ce là ma part d’ancienne du microcrédit … difficile à dire je ne sais pas, mais je ne le crois pas en fait. Car le microcrédit n’est qu’une excuse pour parler avec eux et les faire parler finalement.
Mais ce qui est sûr c’est que je me suis dis deux choses : J’ai fait un beau métier pendant 7 ans à l’Adie et limite … allez je te l’avoue … j’ai eu des regrets de l’avoir quitté.
Tu donnes une émouvante image du métier et bien sûr des clients et une image positive et encourageante et ça vaut de l’or pour moi. Ta position est discrète : on ne te sent pas loin quand on lis finalement, mais nos yeux restent braqués sur eux.
Bref : chapeau !Une fois que l’on a fini de lire les 18 récits de vie, on a envie de savoir qui se cache derrière, de mieux connaitre le contexte et mieux te connaitre … et là c’est juste assez génial de voir débarquer le portrait de Monsieur Zeitoun.
Je t’assure que quand j’ai fini les 18 histoires je me suis dit exactement ça : là ça serait super de lire le parcours de celui qui a écrit, savoir qui se cache dans l’ombre si discrètement que l’on a envie de soulever le rideau.
Alors quand j’ai compris que Monsieur Zétoun en fait c’était toi, c’était juste génial !!!
Un inconnu
Cher Olivier, cher Zeitoun Olivar,
Je t’écris ces quelques lignes pour te faire part de mon IMPRESSION après la lecture de ton livre; tu me pardonneras de te tutoyer alors que nous ne nous connaissons pas; en fait, si tu ne me connais pas, moi, j’ai appris àt’apprécier à travers les 18 récits que tu publies et surtout à travers tes réflexions, tes apports.
– Tu peux être fier de faire un travail te permettant de vivre et d’être impeccable au niveau de l’éthique (tu décèleras peut-être une petite note de jalousie dans ce propos …).
– Les 18 parcours de vie sont extraordinaires de richesse, d’humanité : 18 destins divers, intenses, parfois tragiques avec, en commun, la volonté de sortir de l’assistanat, de se faire une place dans la, dans notre société.
– Ils devraient être étudiés à l’école: ce serait la meilleure antidote aux opinions extrémistes, toujours tentantes dans les moments difficiles. L’étranger ne fait peur que lorsqu’il est étranger : avec tes récits, tu humanises ceux qui nous semblent différents, tu montres qu’ils nous ressemblent, qu’ils ont des qualités qui nous font souvent défaut et, d’un seul coup, ils ne nous font plus peur.
– L’ADIE, loin des traders et des ordinateurs traquant aux 4 coins de la planète des écarts de cours infinitésimaux, redonne ses lettres de noblesse à la banque: elle finance la création de biens, de services et permet aux plus démunis être des hommes et des femmes à part entière.En espérant avoir le plaisir de faire prochainement ta connaissance, je t’adresse mes fraternelles salutations,